mardi 31 décembre 2013

Abécédaire de 2013

Bonjour,

vous n'aurez pas manqué de le remarquer, nous sommes le 31/12. Habituellement, c'est le jour (ou la soirée) idéal pour faire le bilan de l'année écoulée et parfois prendre de bonnes résolutions oubliées sitôt le 1er janvier passé.
Je vais tenter, pour la première fois, et parce que je l'ai vu à droite et à gauche de faire mon abécédaire de 2013 (et puis il faut le dire, l'idée me tente bien).
En 2012, j'avais entamé un bilan de compétences, pour 2013, je fais un bilan tout cours.

Allez hop, c'est partis :
A : comme assiduité. Ou plutôt le manque d'assiduité à écrire sur ce blog.
B : comme blogue. Depuis très longtemps je me disais qu'il serait intéressant d'avoir un blog, et puis jegoun à fait un billet sur le sujet un jour, et je me suis lancé.
C : comme contrats. Réussir à faire dans la même entreprise les 3 types de contrats suivants CDI, CDD et stage (et dans cet ordre là SVP) c'est pas commun je crois (j'aurais aussi pu parler de mon chômage).
D : comme Dinan. C'est ma ville de résidence et je m'y sens bien.
E : comme élections. Celle de 2014 qui se prépare au niveau municipale me passionne. Quelques réunions de préparations du projet pour ma part, mais pas plus d'engagement (enfin normalement).
F : comme famille. Ce temps disponible m'a permis de vraiment passer du temps avec ma petite famille et de profiter des enfants. Ce que mes emplois précédents (chrono phage) ne m'avaient pas permis.
G : comme gastro. Toute la petite famille est passée par là depuis 1 semaine. Bientôt mon tour ?
H : comme l'Humoriste Foudil. Un humoriste qui m'a fait rire comme rarement, que j'ai eu le privilège de rencontrer et qu nous aurons le plaisir de voir à Dinan le 28/02/2014. 
I : comme idée. Une certaine idée de mon avenir qui va se jouer sur la fin de 2013 et partiellement sur le début de 2014.
J : comme jegoun. Le blogueur qui blogue plus vite que son ombre (et avec du contenu en plus).
K : comme kenavo. Histoire de placer un mot de breton et de remplir aussi cette lettre aussi peu inspirante mais qui fait gagner des points au Scrabble.
L : comme ladyblog. Blogueuse bretonne qui écris juste et avec son cœur.
M : comme maison. Beaucoup de temps passé dans la maison cette année. Et heureusement que je m'y sens bien.
N : comme noël. J'ai eu beaucoup de mal à sentir l'esprit de noël cette année. Impression que je "n'étais pas dedans". Certainement à mettre en lien avec mon statut "précaire" professionnel.
O : comme objectifs. Tentative en 2013 de répondre à cette question existentielle 'mais quels sont tes objectifs mon grand?' J'attends toujours de trouver une réponse précise (peut être qu'il n'y en a pas d'ailleurs).
P : comme pôle emploi. Souvent décriés, moqués, ... je leur tire néanmoins mon chapeau. Merci à eux cette année, ils m'ont permis d'avancer dans mes dossiers.
Q : comme qualité de vie. Celle que j'ai retrouvé en ayant pu quitter mon précédent boulot.
R : comme radio. Mes temps de trajet pour aller au boulot cette année ont été parfois longs, j'ai donc eu l'occasion d'écouter la radio plus que précédemment. Merci France Inter.
S : comme stromae. Un artiste complet (cf. les clips produits pour son dernier album), rien à jeter. Définitivement fan.
T : comme TEDx. Deuxième fois que je participais à un TEDx (Après Paris en 2012, Rennes en 2013). Ces rencontres sont toujours aussi passionnantes.
U : comme université. Retour à l'université (sur les bancs des apprenants) depuis septembre pour ma part. A la fois perturbant, déstabilisant mais hautement stimulant.
V : comme vacances. Je suis rarement autant partis en vacances (pas toujours très loin mais toujours détendant) que cette année. Chômage "oblige" j'avais du temps disponible.
W : comme web. Une bonne partie des recherches d'emplois se passe dorénavant ici, il faut s'y faire et ne pas papillonner ailleurs. La tentation est parfois grande.
X : comme xyloglotteRelatif à des propos qui relèvent de "la langue de bois", c'est-à-dire qui détournent ou embellissent la véritéla réalité.
Y : comme youpi. Et oui il était temps que 2013 se termine pour repartir sur de nouvelles bases. Je sais, ce n'est qu'un jour nouveau, mais c'est ainsi, la puissance des symboles.
Z : comme Zebra (DJ). Rencontré à TEDx Rennes, un personnage, un artiste complet. Faire cohabiter un bagad et de la musique électro, faut y penser et surtout le faire !

Et voilà ! Y a pas à dire, il y a quelques lettres plus compliquées (ou moins inspirantes) que d'autres tout de même.

Bon réveillon.

mardi 12 novembre 2013

Les humoristes, une mode ?

En ces temps maussades (la météo Bretonne est conforme à sa réputation en ce moment) et moroses (les bonnets rouges ne me font pas sourire du tout), il est aisé d'aller faire un tour sur internet (ou mieux dans une salle de spectacle) pour se détendre et rire un bon coup avec quelques humoristes de talents.

On peut toutefois se poser la question du pourquoi il semble que la masse d'humoristes en présence est de plus en plus importante. Cette impression repose uniquement sur mon ressenti, hein, je n'ai pas fait de calculs. Malgré le succès de l'émission de télé ONDAR du très courtisé Laurent RUQUIER (euphémisme pour dire bankable), il pourrait être aisé de penser que la quantité n'implique pas la qualité. En effet, il n'est pas nécessaire de passer des heures d'audition pour se rendre compte que beaucoup veulent faire de l'humour, mais que tout le monde ne fait pas rire. Et là, je ne ferais de parallèle avec nos zommes politiques (j'adorait cette prononciation faite par Coluche, celui là même qui disait "J'arrêterais de faire de la politique quand les hommes politiques arrêteront de me faire rire").

Difficile donc de séparer le bon grain de l'ivraie. Mais comme le disait Desproges : « On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde ». De ce fait, on peut se poser la question "L'humour peut il être clivant ?". Et donc, existe-t-il un humour de droite, de gauche, du centre (un humour rassembleur et fédérateur...), mais aussi un humour qui serait générationnel et puis pourquoi pas communautaire ? Tout peut se faire, je pense, après faire de l'humour pour un public de "niche" je ne suis pas persuadé de la capacité à trouver son public plus que quelques soirées (puisqu'infine l'objectif de l'humoriste est effectivement de partager son spectacle pour pouvoir en vivre non?).

Pour revenir, à la question du titre, est ce une mode ? A mon avis oui. Dans le sens où cela réponds, à mon avis, à un besoin viscéral du public (de plus en plus nombreux) à vouloir s'évader le temps d'une soirée de sa vie un brin morose et démotivantes. Après, cette mode va-t-elle durer ? A titre personnelle, j'espère que oui, mais pas pour les mêmes raisons. Si nous pouvions avoir une vie qui ne soit pas stressante ou billante et il serait tout aussi appréciable d'apprécier les spectacles des humoristes.

En parlant de cela, je vous conseille vivement d'aller voir le spectacle de Foudil Kaibou. Pour le moment, il passe tous les mardi et mercredi au théâtre de dix heures. Et j'ai cru comprendre que quelques dates allaient se faire en province (notamment en Bretagne).


Prix d'un forfait téléphone

Ici, j'ai plus une question qu'une réponse. A savoir, comment les opérateurs téléphoniques font pour construire une offre tarifaire? Pour ma part, je suis abonné chez l'un des 3 opérateurs "historique" (hors free donc). Il y a quelques jours, mon opérateur me fait parvenir de l'information sur les nouveaux abonnements 4G. Habituellement, je ne vais pas consulter ces mails de publicité, mon forfait me va bien (en gros "tout" illimité jusqu'aux limites tout de même du contrat, on pourrait ici aussi noter les limites de l'illimité).

Là, par curiosité vis à vis de la 4G que j'avais pu tester, je voulais voir le gap financier à franchir pour pouvoir profiter (par endroits nous sommes d'accord) de la 4G. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que je devrais payer moins chère mon abonnement mensuel (de l'ordre de 5€ par mois tout de même) pour pouvoir bénéficier de la 4G dans mon abonnement (et tout ceci en augmentant aussi mon volume de data mensuel, ce qui est indispensable en basculant sur la 4G). Cerise sur le gâteau, mon opérateur me fait aussi "cadeau" du premier mois d'abonnement et n'augmente pas la durée d'engagement de mon abonnement.

Pour l'instant je cherche toujours la "faille", l'arnaque et éventuellement le problème, mais je n'ai pas trouvé. Du coup, j'ai coché la case "changer de forfait" et me voila doté d'un abonnement 4G tout en payant moins chère que précédemment avec la 3G.

Il y a ici une logique de prix qui m'échappe. Ou bien faut il considérer que le prix précédent de mon abonnement était déraisonnable. Je vais me retrouver dans cette logique d'achats de vêtements où il ne faut surtout rien acheter en dehors des soldes au risque d'avoir le sentiment bien présent de me faire enfler propre et net. Dorénavant, je regarderais peut être plus souvent les mails que m'envoient mon opérateur téléphonique.

lundi 21 octobre 2013

L'opportunisme, défaut ou qualité ?

Faut il forcément considérer l' opportunisme comme un défaut?
Je m'explique, savoir saisir des opportunités est-ce un défaut?

Tout d'abord, allons faire un tour sur Wikipédia :

opportunité /ɔ.pɔʁ.ty.ni.te/ féminin
  1. Caractère de ce qui est opportun.
    • Votre intervention manque tout à fait d’opportunité.
    • Vraiment, vous tombez bien ! Quelle opportunité !
    • Nous discuterons plus tard de l’opportunité de ce voyage.
  2. (Anglicisme) (Calque de l’anglais opportunity) Circonstance favorableoccasion.
    • Non, il n’a pas le génie adroit et cauteleux d’un procureur qui ne perd ni une minute ni une opportunité  (StendhalLe Rouge et le Noir, 1830, chap. LXIV)
    • C’est un peu comme si elle n’avait pas l’opportunité de commencer son existence indépendante.  (Georges SimenonQuand j’étais vieux, 17 décembre 1961)
    • Le rôle du chasseur de tête consiste à débaucher un salarié, en poste, afin de lui proposer une opportunité professionnelle a priori plus intéressante que celle qu’il tient en main. (Olivier de Préville, Chasseur de têtes, chasseur de rêves, p.10, Société des Écrivains, 2008)


Ici, je ne vois aucun caractère qui ne soit propice à une définition de l'opportunité comme un défaut. Et pourtant, qui n'a pas taxé untel ou unetelle "d'opportuniste" en voulant l'affubler de tous les maux ?

Il n'est qu'à se souvenir de cette chanson (au demeurant fort sympathique) de l'un des plus célèbres fumeurs de cigare.



A l'heure où une carrière professionnelle est plus que jamais chaotique et semée d’embûches diverses et variées, il faut se poser la question de savoir ou pas saisir les opportunités qui se présentent (et savoir les entendre aussi d'ailleurs).
Alors, messieurs et mesdames les chasseurs de têtes, lors-qu’à la question pourquoi changeriez vous d'entreprise, nous répondons "Pour saisir une opportunité qui se présente", n'allez pas vous offusquer. Vous mêmes, lorsque vous êtes en approche directe, vous nous parlez d'opportunité à nous présenter, faudrait veiller à ne pas déconner non plus.

J'assume, je suis effectivement un opportuniste. J'écoute ce qui se passe autour de moi et je saisie au vol ce qui se présente et qui pourrait m'intéresser.

Par contre, ne me faites pas dire que je suis opportuniste autour des idées, j'ai quelques principes sur lesquels je ne déroge pas.

jeudi 3 octobre 2013

En formation

Depuis la fin de mon CDD, et après quelques vacances je suis maintenant de retour sur les bancs de la faculté. Et oui depuis début septembre j'ai intégré une licence de gestion. Dur dur de se remettre le nez dans les cahiers et de rester concentré (et attentif) pendant tout une journée.
Je conseille à tous ceux qui le peuvent de s' y remettre. Excellent pour la remise en cause et pour se remettre le cerveau en vrac.

vendredi 9 août 2013

Fin de mission

Ce soir je termine ma mission de quelques mois au sein de cette PME rennaise. Un CDD de 5 mois et puis s'en va. Content de finir (ce sont les vacances) et aussi impatient de voir comment va se passer la rentrée au moment de ressortir le cartable et la trousse.
Du coup, le bureau est bien rangé et propre pour le suivant.

mercredi 7 août 2013

Coup de coeur musical du moment

Pour avoir eu l'occasion d'assister à sa prestation de Bootleg à TEDx Rennes (En vidéo ici pour lui et les autres) cette année, j'ai pris le temps de voir ce que donnait les prestations scéniques de DJ Zebra. Et là, grosse claque lorsqu'il partage la scène avec le bagad de Carhaix.
Deux raisons, je ne suis pas DU TOUT client de musique électronique et pas particulièrement fan de binious. Mais là, le mariage des deux donne un résultat plus que détonnant. Superbe pari réussit de la plus belle des manières. A voir sur scène je pense.

Le résultat à Carhaix (en 2010, shame on me for the delay) :

Et une mise en image (un clip quoi) :

mardi 30 juillet 2013

Faut-il se moquer des libéraux ?

En l' espèce,  faut-il se moquer des entrepreneurs qui se plaignent du manque de subventions pour lancer un commerce?
Je pose la question après avoir eu une discussion avec un "collègue" qui vociférait après sa commune (et la communauté de communes) qui n'avait pas de budget pour subventionner le lancement de son activité commerciale. Autant je peux comprendre le subventionnement d'une activité novatrice (qui a besoin de fonds pour démarrer et qui saura chercher les business angels), à contrario, quelqu'un qui veut monter une entreprise commerciale (ce qui était le cas) je ne vois pas l'intérêt. En effet, au nom de quoi la collectivité (donc nos impôts tout de même, à tout le moins l'argent du contribuable) devrait-elle financer le lancement d'une activité de ce type ? Qu'est ce qu'il y avait en jeu ? Un emploi (celui du créateur) tout au plus, dans un secteur (le tourisme) qui est en berne, et pour encore longtemps. N'est ce pas, au contraire, le signe d'une bonne gestion et utilisation des deniers publics?
Lorsque l'on apprends en plus, que ce garçon est un candidat libéral modéré (UDI), je rigole tout de même jaune. Être à la fois libéral et amateur de subventions publics, il faudra m'expliquer cette dichotomie.

lundi 29 juillet 2013

Concilier convictions personnelles et exigences professionnelles

Dilemne parfois cornélien que de vouloir faire cohabiter ses convictions et les exigences de son poste. Mais peut on envisager de vivre cela sereinement ?
Tout dépend du poste que l'on occupe je pense. Du haut (pas trop tout de même, il me reste encore du temps) de mes quelques expériences dans différentes entreprises et pour des métiers tout aussi divers je vais donc tenter d'expliquer pourquoi et comment. Cela va donc aussi être l'occasion de vous parler d'une partie de mes convictions (qu'elles soient politiques ou pas d'ailleurs).

Tout d'abord, parlons du management des personnes et des équipes.

Il me semble inconcevable de s'assoir sur ses convictions pour manager son équipe. Il faudrait être un pervers particulièrement tordu pour ne pas manager comme on est. Je m'explique, mon caractère est celui de quelqu'un de calme, posé et réfléchi (et ce n'est pas que moi qui le dit). De ce fait, mon management repose sur ces bases, avec de l'écoute, de la compréhension (je suis pas assistant social non plus) et du dialogue. Même s'il faut parfois être ferme et ne pas non plus se laisser marcher sur les pieds, pas d'autoritarisme qui soit basé uniquement sur les "galons" de chef.

Mon approche repose effectivement sur quelque chose de fragile, la recherche du consensus. Sans verser dans la "bisounours attitude", cela me semble relativement pertinent sous réserve d'avoir le temps de mener à bien ses actions (et donc d'avoir la confiance de sa hiérarchie).

Pour conclure, j'ai deux références dans le domaine :

la 1ère, se souvenir tout le temps de cette fameuse pyramide de maslow qui classe les besoins des personnes. Inutile de vouloir travailler sur des besoins hauts si les besoins primaires ne sont pas garantis. C'est l'humain qui est ainsi.


















La seconde, m'a été donnée comme conseil par mon premier directeur lorsque j'ai eu à manager une équipe pour la première fois "La motivation ne se décrète pas, on (le manager donc) doit créer les conditions pour qu'elle survienne".

Ensuite, pour ce qui concerne la partie achats,
Cela fera l'objet d'un prochain billet, sinon je vais être trop long.


NB : entre le début et la fin de l'écriture de ce billet, je suis tombé là dessus : http://www.florianmantione.com/ un édito sur le management bienveillant. On enfonce des portes ouverts, comme souvent dans le management, mais il est intéressant de voir des cabinets de recrutement le dire.

Pause repas gâchée ?

Etre tranquille sur un banc en train de déjeuner et un bonne grosse averse, la clé d'une pause repas gâchée. Note pour plus tard : penser à regarder les nuages avant de s'installer.

vendredi 26 juillet 2013

Un bureau bien rangé

Faut il avoir un bureau bien rangé pour être efficace? Pour ma part non,  c'est plutôt pour la transmission des données qu'il faut être propre (et le classement des fichiers informatiques).
Sur ce, je suis un cadre en week-end.

Un bon manager est il forcément un manipulateur ?

En clair, faut il être un disciple de Nicolas Machiavel pour bien tenir ses équipes ?

Mes diverses expériences tenderaient à me faire dire que oui, il faut avoir tout de même un brin de "vice" et d'esprit tordu pour réussir à conduire ses équipes dans le sens que l'on souhaite (ou plus prosaïquement dans le sens que la direction à souhaité que vous envoyez votre équipe).
Sans être forcément un manipulateur se complaisant dans la volonté de nuire, le manager (le bon) utilisera plutôt les outils que les sciences humaines mettront à sa disposition.
Il ne faut en effet jamais oublier qu'un manager gère de l'humain, pas des machines, nous avons en face de nous des personnalités, ayant chacune leurs différences, leur histoire et donc leurs particularités. A ce sujet, je conseille généralement un ouvrage "Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens" (essai de psychologie sociale de Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois).
Je conseille aussi sa lecture à toutes les personnes qui ne sont pas des managers mais des managés et qui voudraient comprendre les ressorts que leurs chefs utilisent pour les diriger (c'est aussi valable en famille, je confirme). Toutes les méthodes dites du "pied dans la porte" ou de "la porte au nez" sont assez efficaces et pour peu de les avoir intégrées on peut alors voir les techniques de négociations d'une façon assez différentes.
Je peux le dire d'autant plus facilement que ces dernières semaines, mon patron actuel (je suis bientôt en fin de contrat avant de retourner à l'université en septembre) me fais une danse du ventre pour essayer de me garder. Il est alors assez intéressant de bien se maîtriser pour tenter de comprendre les ressorts de ses réflexions et des aspirations, prendre du recul et aller (autant que cela est possible) à rebrousse poil. Le principe de l'arroseur arrosé en quelque sorte, mais à manier avec précautions...

jeudi 25 juillet 2013

Lecture du midi

Pendant la pause repas il est important de couper et de penser à autre chose. Cette revue est vraiment extraordinaire pour cela. Concilier détente et culture c'est possible.

Pour démarrer, une présentation

Il paraît que pour être lu, il faut faire court, synthétique et avoir du contenu à proposer. Je vais essayer, mais il est probable que je ne mette pas tout dans le même message (surtout le premier).

De mon côté, je suis donc un trentenaire (qui flirte avec la frontière des 40 ans) et qui travaille depuis 18ans dans le domaine de l'industrie et de la logistique. J'ai, pour le moment, réussi à ne jamais effectuer deux fois le même métier (un avantage lorsque l'on est curieux qui peut se transformer en inconvénient lors d'un entretien de recrutement, mais j'y reviendrais). Jusqu'à fin 2012, j'avais réussi à passer entre les gouttes de LA crise (vous savez ce dont on entends parler depuis des années sans trop savoir ce que c'était), et le 24/12/2012 (joyeux noël) j'ai "eu le droit" à mon premier licenciement économique.

Pour parler de mes métiers, j'ai eu l'occasion d'être responsable qualité, responsable production, responsable achats, responsable logistique, .... Autant d'occasions d'être à la fois acteur et spectateur du monde industriel.

Je vais donc essayer ici de vous narrer quelques anecdotes personnelles (en tentant de ne pas mettre trop de détails pour ne pas être reconnu).